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Australie : Il sauve la vie de sa fille en la soignant lui-même et risque aujourd’hui la prison

Rumer Rose, petite australienne tout juste âgée de 2 ans, souffre d’un grave cancer au cerveau. Les traitements classiques dont elle a bénéficié étant inefficaces, son papa a décidé de la soigner à sa façon…

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Face à la maladie grave dont souffre sa fille, un cancer appelé neuroblastome de type 4, le père de la petite Rumer Rose a tout essayé.

Il s’est d’abord fié à la thérapie pratiquée par l’hôpital, mais sans résultats. La petite fille souffrait toujours de très douloureux maux de tête. Démuni, il a tenté un traitement naturel, qui consiste à se nourrir d’aliments bio et de gluten, et  à utiliser des huiles essentielles. Mais, là non plus, le papa n’a constaté aucune amélioration chez son enfant.

La solution miracle, et les ennuis qui commencent…

Face à ces échecs, le père a décidé de lui administrer de l’huile de cannabis. Une méthode peu conventionnelle, mais qui semble faire ses preuves.

En effet, l’état de santé de Rumer Rose s’est amélioré. Selon son père, « sa peau avait repris des couleurs, ses yeux brillaient de nouveau et nous nous regardions avec un émerveillement total ».

Mais la justice australienne ne partage pas la même joie. Lorsque les autorités ont découvert ce qu’il faisait, il a été arrêté et placé en garde à vue. Il est accusé de possession de stupéfiants et d’avoir fourni de la drogue à un mineur de moins de 16 ans.

Touché par son histoire, les internautes se sont mobilisés et ont fait circuler une pétition en faveur du papa qui a réuni plus de 140.000 signatures. En plus du soutien moral, ils ont récoltés plus de 14.000 dollars pour aider le papa à payer ses frais juridiques.

Après s’être fait interdire les visites à l’hôpital pour voir sa fille, ce droit lui a finalement été accordé sous surveillance policière.

 

 

A propos de Witold Stanik

Witold, c'est notre petit bleu à nous ! Il a la moitié de notre âge cumulé, des cheveux qui poussent vers le haut et une plume qui s'aguerrit à nos côtés dans le cadre de son stage d'étudiant bientôt diplômé en Info-Com. On a prévu de lui apprendre des choses et précisé qu'on aime notre café noir et sans sucre. Et on a promis qu'il ne serait pas maltraité pendant son stage. C'est notre stagiaire, quoi !