Si certaines conduisent jusqu’au jour J, d’autres ne peuvent plus prendre le volant très rapidement, gênées par leurs bidons… Mais existe-t-il de réelles contre-indications à la conduite enceinte ? Quels bons gestes adopter ? On en parle.
L’important est d’être à l’aise…
Et de toucher encore les pédales ! Tant que tu arrives à te glisser derrière ton volant tout en reculant ton siège et que tu les touches bien, tu peux conduire. Cela peut prêter à sourire quand on parle des pédales, mais c’est vraiment très important car il faut que tu sois capable d’appuyer parfaitement dessus, et d’enfoncer celle du frein jusqu’au bout.
Et d’écouter son corps !
Rien de pire qu’un trop plein de confiance en soi, d’une mauvaise interprétation de sa fatigue si l’on conduit. Si tu te sens fatiguée, un peu patraque, tu ne prends pas le volant, un point c’est tout. Si tu es obligée de faire un long trajet, il faut absolument que tu demandes l’avis de ton gynécologue qui pourra te dire si clairement, tu es en état ou pas. Si ton médecin te donne son go, il faudra faire régulièrement des pauses, en profiter pour marcher, te dégourdir les jambes, et bien t’hydrater. Et hors de question de traverser la france, enceinte de 8 mois, seule…
La ceinture de sécurité : INDISPENSABLE !
Quand le ventre s’arrondit, bon nombre d’entre nous pensent que pour un petit trajet, on peut s’en passer ! Sauf que non ! Placez la bande du bas bien sous votre ventre, et la sangle de l’épaule entre vos seins, et pas sous le bras les filles !