L’heure du coucher est un moment redouté par de nombreux parents. Crises de larmes ou de nerfs, allers-retours incessants pour répondre aux demandes (parfois farfelues) de l’enfant… autant de choses qui peuvent rapidement transformer la soirée en véritable cauchemar. Pour éviter que la situation ne s’aggrave voici 4 choses à éviter quand son enfant a du mal à se coucher.
Sa chambre (ou son lit) n’est pas un lieu de punition
On a souvent tendance (à tort) d’envoyer son enfant dans sa chambre ou au lit quand il fait une bêtise. Et bien c’est une grosse erreur ! Sa chambre (ou son lit) n’est pas une punition mais au contraire un lieu de repos, de sérénité et de jeu.
On oublie la solution médicamenteuse
Qui n’a jamais entendu « Oh, donne lui une petite cuillère de Toplexil, ça va l’aider à s’endormir« . NON, on oublie ce genre de conseil douteux et on n’essaie pas non plus de lui donner des somnifères pour qu’il s’endorme plus rapidement.
La technique de l’épuiser durant la journée ne fonctionne pas
Souvent on a tendance à penser qu’en faisant en sorte que son enfant se dépense bien la journée, il sera tellement fatigué le soir qu’il s’endormira plus facilement. Problème, cette technique peut souvent avoir l’effet inverse. Lorsque l’enfant est trop fatigué, il est souvent beaucoup plus excité et a donc plus de mal à trouver le sommeil.
On évite de finir la journée dans les hurlements
Les soirées se suivent et se ressemblent et ça a le don de te taper sur les nerfs ! Essaie de garder ton calme quoi qu’il arrive et évite de finir la journée sur une note négative. Ton enfant s’endormira bien mieux avec un câlin qu’avec une réprimande.