Dés l’écho du 1er trimestre et si bébé est bien positionné, tu peux connaître le sexe… Certains n’imaginent pas une seconde être dans le flou, quand d’autres décident de garder le suspens… Pour ou contre connaître le sexe de bébé ? 10 jeunes mamans nous donnent leur avis.
Morgane, 19 ans
« J’ai tout de suite voulu connaître le sexe de bébé, j’avais trop envie d’aménager sa chambre, de préparer sa garde-robe, de dévaliser les boutiques. Pendant 6 mois, je me suis consacrée à préparer son arrivée. Ne pas connaître son sexe m’aurait trop frustrée ».
Véronique, 36 ans
« Quand j’ai appris que j’étais enceinte de jumeaux, on a voulu avec mon mec avoir la surprise. Mais on a craqué très vite devant l’immensité des préparatifs. Les gens voulaient nous aider, nous donner des fringues mais à chaque fois se posait la question des couleurs, robe ou pas robe, treillis pas treillis. On s’est dit que c’était plus raisonnable de connaître leurs sexes. Au final, c’est fille et garçon, le choix du roi. Et puis qui sait, si on retente l’aventure, peut-être qu’on se réservera le droit de ne pas savoir… »
Andréa, 34 ans
« Je ne me suis jamais posée la question. Je voulais savoir et puis c’est tout. Mon chéri lui ne voulait pas connaître le sexe de notre enfant. Je me suis laissée convaincre au fil des semaines, et ne leur remercierait jamais assez de m’avoir fait vivre un tel bonheur. Quand ce petit être se pose sur toi et que tu soulèves la couverture pour le découvrir, tu es submergée de bonheur ».
Michelle, 23 ans
« On ne voulait pas savoir… Mais lors de l’écho, j’ai aperçu un p’tit quelque chose et j’ai vite compris que j’attendais un garçon. Je n’ai rien dit, mon amoureux ne savait pas… Mais bingo, je ne m’étais pas trompée. Jules est né le 26 avril. Avec le recul, je trouve touchant d’avoir partager ce secret avec bébé alors qu’il n’était pas encore né ».
Olivia, 25 ans
« Je ne voulais pas savoir, mon mec oui. Forcément le sujet était houleux. J’ai tenu bon, lui aussi. S’en sont suivis de longs mois où mon mec faisait des allusions et des blagues toute la journée genre « saura, saura pas ». Un enfer ! Pour autant, je suis contente d’avoir tenu jusqu’au bout. Clémence est arrivée, et je voulais secrètement une fille… »
Berengère, 32 ans
« Je suis une hyper organisée limite orga militaire, donc pour moi, c’est impensable de ne pas connaître le sexe de bébé pour optimiser les préparatifs. Ce n’est même pas la question de la chambre bleue ou rose, c’est une question de projection. Je sais, pas de magie dans tout ça mais tout contrôler me rassures ».
Lydia, 33 ans
« Perso, j’étais tellement focalisée et persuadée d’avoir une fille que j’ai voulu savoir, tout en me disant qu’il ne pouvait en être autrement. Et là le couperet, c’est un garçon. J’en ai pleuré. Je sais ce n’est pas top de réagir comme ça mais ça m’a déprimé. Je ne me suis jamais imaginée avec un garçon. Jusqu’à l’accouchement, j’ai appris à vivre avec cette idée, j’ai essayé de me projeter et s’est passé. Je n’arrête pas de me dire que ces quelques mois de préparation ont été bénéfiques car si j’avais vécu jusqu’au jour J avec mes intuitions, la déception aurait été immense ».
Isabelle, 30 ans
« Pour moi, aucune importance étant donné que je n’ai jamais eu de préférence pour l’un ou l’autre sexe. Mon gynécologue m’a annoncé que c’était un garçon très vite, j’étais contente qu’il soit en bonne santé. C’était le plus important ».
Marion, 28 ans
« Oui je voulais savoir. A la première écho, on m’annonce que c’est un garçon. Cool je me suis dis. Je commence à fouiner dans les boutiques, dégote quelques petites choses toutes bleues. Et puis à la deuxième écho, oups c’est une fille. Delphine a donc porté ses premiers jours des fringues de garçon, tant pis ».
Géraldine, 22 ans
« Certains vont trouver ça grotesque mais pour moi, les filles ont une chambre de princesse et les garçons de prince. C’est comme ça, alors pour moi, pas question d’être dans le flou, il fallait que je mette en œuvre mes projets d’aménagement. »