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A 10 ans, mon enfant fait toujours pipi au lit, que faire ?

« Bonjour,

Mon fils de 10 ans souffre d’énurésie.

Il y a des moments où ça va mieux (les vacances d’été ont été plutôt « calmes »), mais le problème continue à revenir. C’est notamment le cas depuis la rentrée scolaire.

J’aimerai avoir des avis et témoignages de parents qui connaissent ce problème.

Peut-être avez-vous des solutions pour m’aider à aider mon fils ?

Merci,

Anne »

3 réponses

  1. Bonjour, j’ai souffert d’énurésie quand j’étais petite mes parents on vraiment essayer pleins de chose me réveiller la nuit entre autre mais pas très bon pour le sommeil sinon ce qui a fonctionné c’est mettre un appareil avec un espèce d’électrode a mettre avec une serviette hygiénique dans le slip et dès que l’électrode est en contact avec l’urine ca sonne ca réveil l’enfant et ca permet qu’il se retienne pour aller au toilette moi personnellement j’ai souffert d’énurésie jusqu’à l’age de 15ans pas évident car je ne savais pas aller dormir chez une copine peur que cela m’arrive du jour au lendemain je n’ai plus rien eu mais pour l’aider a ne plus faire pipi la nuit dans son lit quelques petits truc
    pas trop boire le soir, aller au toilette avant d’aller au lit et pour l’aider lui donner un récompense lorsque son lit est sec le matin et faire un calendrier si sec le matin un soleil et si mouiller un nuage avec de la pluie ca aide beaucoup

    audrey

  2. Bonjour,
    J’ai souffert d’énurésie jusqu’à mon entrée en 5eme.
    Nous avons essayé pas mal de choses avec mes parents, après avoir écarté tout problème physique:
    -réveil qui sonne à 2h du matin pour aller aux toilettes
    -électrode branchée sur la culotte qui bip dès la 1ère goutte d’urine.
    Ces 2 méthodes sont très barbares et je ne les recommande pas. Cela perturbe toute la famille et fait culpabiliser l’enfant.
    -psychologue
    La situation s’est débloqué quand j’ai été suivie par un acuponcteur. Je devais remplir un agenda avec les nuits propres ou non, nous parlions pendant qu’il plaçait les aiguilles. Puis je restais seule, avec mes aiguilles dans les oreilles. Ça permettait de penser. Puis cet acuponcteur nous a parlé d’une cure thermale à Lons le Saunier: 85% de réussite après la 2ème cure. Plusieurs enfants avec ce même problème qui se retrouvent dans une sorte de colonie de vacances. Sauf que la matinée est réservée aux soins: inhalation de vapeur d’eau salée, gymnastique dans une salle avec vapeur d’eau salée, aquagym dans une piscine d’eau salée. Le reste du temps, c’est vraiment la colo! Après la 1ère année, les accidents la nuit ont beaucoup diminué.
    J’y suis allée 2 années de suite et le problème était réglé.
    Je crois que le fait de se retrouver avec pleins d’enfants ayant le même problème que moi aide énormément.
    Je le conseille vivement !

  3. Je trouvais chaque matin mon lit mouillé jusqu’à 13a, ça s’est fini à 16a passé.
    Il y a des mesures évidentes : 1 seul verre d’eau au repas du soir et uriner juste avant de se coucher.
    C’est un souvenir très pénible à l’adolescence, pourtant je n’étais pas punis : je me punissais moi-même!
    Les médicaments  » minirin » et homeopathique n’ont rien amélioré du tout.
    Même si c’est un peu barbare (à reserver pour les périodes où l’on ne doit pas forcément se lever tot le matin) c’est le pipi-stop qui a eu le plus d’effet sur moi : utilisé pendant les vacances scolaires à la fin de la classe de 4°, je suis passé de +/- 2 nuit au sec par semaine à 5.
    Au début de la classe de 4° j’avais consulté un psychologue (passage en chambre individuelle, responsabilisation vis à vis du nettoyage, calendrier sec/mouillé et arrêt des couches) résultat passage de 0 à 2 nuits au sec par semaine.

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