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Comment gérer ma belle-famille ?

Bonjour à  toutes 🙂 Voilà  j’ai un petit bout de 3 mois adorable et qui me ravit. Mon problème est avec ma belle famille depuis la naissance. Je ne fais jamais rien de bien, je devrais le laisser pleurer, le mettre moins au sein, le mettre dans les bras de tout le monde, le réveiller si quelqu’un a envie de lui faire un câlin, et entendre sans arrêt les comparaisons avec le cousin qui a 4 mois de plus que lui me rend dingue. Ils sont très nombreux et très présents mais moi je commence vraiment à  en souffrir et à  ne plus savoir comment m’en sortir. J’ai la boule au ventre dès qu’ on doit les voir ( chaque semaine minimum) mais je sais que cela compte beaucoup pour mon homme et je n’ai envie de me brouiller avec personne… Bref, est ce que certaines d’entre vous ont connu cela ? Comment l’avez vous gérer? Merci d’avance pour vos conseils ».

Marie-Clairette

À propos Anne-Laure Galluchon

Maman d'une adolescente en pleine puberté, d'une petite puce de 5 ans et d'un petit bonhomme de 6 mois, je suis une vraie pile électrique. Faut que ça bouge tout le temps ! On dit de moi que j'ai une sacrée répartie mais quand on est maman, on a plutôt intérêt à ne pas se laisser marcher sur les pieds. Je dis tout haut ce que beaucoup de mamans pensent tout bas !

2 plusieurs commentaires

  1. Bonjour!
    Oh oui je te comprends!
    Tout dépend du niveau d’ingérence je dirais. Tu expliques pourquoi tu fais ainsi et pas autrement (laisser pleurer = non parce que bébé exprime un besoin, pas besoin de faire ses poumons ça a été fait dans mon ventre; le portage calme l’enfant et ne le rend pas capricieux mais sûr de lui; pas besoin de passer dans les bras de tout le monde pour attraper tous les microbes). Si ça continue en remarques, au final c’est toi la mère c’est toi qui décide (je fais comme je pense être le mieux, si je me trompe je viendrai pas m’en plaindre avec vous!). Et pour le cousin… « tant mieux pour lui ».
    C’est sûr que le répéter chaque semaine des centaines de fois est usant. Tu ne peux pas du tout éviter les rencontres? Si ton conjoint est conscient de la situation il pourrait tempérer cela et demander de réduire les visites. J’ai subi ça aussi, au final j’étais ferme sans être méchante et c’est moi la mère na! Pendant plusieurs semaines je ne les ai pas vu aussi. Je fais comme si j’avais pas entendu aussi parfois.
    Il faut ménager les sentiments de chacun certes, comme c’était ma belle famille j’ai expliqué à mon mari que c’était à lui de mettre les points sur les i, pour qu’ils le prennent pas trop mal justement, il a coopéré, j’espère que le tien aussi! Courage!

    • Bonjour les filles,

      Je me permets de me joindre à vous, car j’ai exactement le même problème. Pour ma part je ne vois que très rarement mes beaux parents et heureusement. Par contre quand je les vois c’est durant une semaine continue. Et là, j’arrive à saturation. Mon petit bouchon à trois mois et c’est grand parents le stimule continuellement. Si bien que depuis une semaine, il ne dort plus la journée et prendre presque plus ses biberons. J’ai demandé à mon homme (qui est fils unique) de faire quelques choses mais pour lui c’est normal. Ma belle-mère (qui en passant est malade est ne se désinfecte pas les mains) prend constamment mon fils dans ses bras et le bisouille. J’ai déjà mis le hola une fois, mais ça a mal été prit.

      Au lieu de le laisser dormir, non, elle lui parle de chose d’adulte, lui chante des chansons qui stimule son cerveau. Et puis voyons, il n’a pas besoin de dormir, ou oh il a régurgité, c’est parce que la maman lui a mal fait son rot. Non, je fais tout très bien, sauf que mon fils à un RGO et que de le faire tourner constamment dans les bras ben comme beaucoup de personne ça fait vomir.

      Je ne sais plus quoi faire, le père de mon fils s’en fiche complètement et je trouve que ce n’est pas à moi de les reprendre, puisqu’en plus, ils n’écoutent pas ce que je dis. J’ai un peu l’impression que c’est leur petit-fils avant que ce ne soit mon fils et qu’ils le connaissent mieux que moi.

      Alors je n’ai désormais plus qu’une chose à faire, prendre mon mal en patience. La seule chose à dire, c’est courage. En effet, il faut ménager les gens, mais jusqu’à quelle point ?

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