« Je suis actuellement enceinte de 4 mois et demi. Je me pose énormément de questions sur la péridurale. Pour ma première grossesse je l’ai eu et au final le travail a duré de minuit à 9h … J’ai mis mon fils au monde à 9h25. Je n’ai pas réussi à pousser, du coup j’ai eu une épisiotomie et les spatules pour le sortir. Je me demande si je ne vais pas accoucher sans péridurale pour le deuxième. Est-ce que vous avez accouché sans et comment ça s’est passé ? »
Fannyn
1er accouchement provoqué donc péri, ça a été un cauchemar, j’arrivais pas à pousser, je souffrais le martyr , ya fallu utiliser forceps et j’ai eu une épisio (bb de 3,520 kg)
2è accouchement, pas de péri, bb est arrvié en 5 poussées, j’ai quasi pas souffert pourtant bb faisait 4kg, j’ai juste eu un petit point …là j’ai senti quand il fallait pousser, je garde un magnifique souvenir de mon second accouchement …
bonjour , j’ai eu 3 enfants sans peridurale car c’etai un choix je n’en voulai pas , et je suis a 3 semaine actuellement de mon terme pour le 4eme et je reprend la meme option : pas de peridurale , je n’es jamais eu d’episio ni de spatule , tout au naturel ! tout c’est bien passer pour les 3 autres , certe il y a la douleur mais vous verez bien que des que bébé es la , elle disparait totalement ! bon courage
Je souhaitais accoucher en maison de naissance, sans péridurale.
Au bout de 19h de travail et plus de 48h sans dormir j’ai craqué et l’ai demandé.
Résultat : elle n’a fonctionné que d’un côté pendant 2h (avec l’injection d’ocytocine un vrai plaisir :/)
Il m’a fallu 3 autres injections de différents produits pour que ça s’ endorme pour de bon.
J’ai regretté d’avoir cédée mais
malgré tout, après avoir parlé avec ma sage femme, je n’aurais pas eu la péri mon accouchement aurait pu durer des jours…
Une fois la péri posée au bout de 3h il est sorti en 5/6 poussées (en ne sentant absolument rien)
Je suis au même stade de grossesse que toi et pour moi la question ne se pose pas. Pour le 1er il y a 8 ans j’ai accouché sans péridurale et comme on dit chez moi ça s’est passé comme une lettre à la poste !!! J’ai eu quelques points de sutures (déchirure) mais à part ça impeccable. J’appréhende quand même pour le 2e car j’avais 24 ans la dernière fois et donc je me dis que 8 ans plus tard peut-être que je ne serai plus aussi en forme en fin de grossesse mais malgré tout sauf gros problème pas de péridurale pour moi !!!! Courage et ne stresses pas trop ça ira bien.
J’ai 4 enfants.
Je n’ai pas eu de péridurale pour les 3 premiers accouchements par choix, car j’avais peur de la péridurale. Mais j’ai le souvenir de douleurs extremement atroces!! J’ai toujours eu un travail plutot rapide, donc avec de grosses douleurs! La délivrance porte bien son nom!
Pour ma dernière grossesse, je ne pouvais imaginer souffrir le martyre de cette douleur.
donc j’ai demandé la péridurale et surprise, j’ai été ravie! J’ai vécu l’accouchement sans avoir à gérer cette douleur et j’en ai de bons souvenirs (des souvenirs que je n’ai pas eu pour les 3 premiers) et le travail a été a peine plus long, mais je souriais et ce fut un bonheur. J’ai quand même bien senti quand il fallait pousser sans problème avec une faible douleur.
Je me demande encore pourquoi je n’ai pas accouché sous péridurale les autres accouchement…
Courage! Fais bien le pour et le contre et parle en au gynéco, à ta sage femme et à l’anesthésite (d’ailleurs ce n’est qu’a cette 4eme grossesse où j’ai été écouté par un anesthésiste et qui me comprenait et qui m’a donc rassurée et expliquée la péridurale…)
La péridurale a très bien fonctionné pour bébé et moi.
Avant de l’avoir ça a été 5h de contractions très douloureuses ( sur 19h de travail au total ). Une fois la péri installée la sage femme à meme pu accélérer le travail pour que je dilate complètement et que Bebe sorte en 6 poussées .
Pour le prochain bébé péri sans aucune hésitation .
Bonjour Fannyn,
J’ai accouché de ma fille sans péridurale . J’étais partie dans l’optique » si j’y arrive sans la péri tant mieux » mais en me laissant le choix de la demander si je sentais que la douleur et/ou la fatigue était trop importante. Je ne voulais pas m’enfermer dans un choix et me sentir déçue ou nulle si ça se passait pas selon mes attentes, en gros je voulais pas me mettre la pression !
En demandant aux mamans de mon entourage et de ma famille j’ai glané quelques conseils qui m’ont été utile.
Je me suis préparée comme pour un « marathon », c’est à dire physiquement (en gardant une activité physique douce, natation. yoga marche, massage…) et psychologiquement (méditation, technique d’hypnose, visualisation positive, …). J’ai également pris de l’homeo (préparation du col et plancher pelvien et contre l’angoisse et aussi de l’arnica en post partum)
On m’a conseillé un livre « Nouveaux parents, nouveaux enfants » Dr Hugues Reynes. J’y ai trouvé des outils et explications intéressantes surtout sur l’aspect du ressenti psychologique de l’accouchement.
Se rappeler que la douleur va pas durer qu’elle finit
De pas luter contre les contractions
Lâcher prise accepter que ça se passe pas tjs comme prévu
Avoir un cri de guerre
Avoir son partenaire comme allié et supporteur
C’est les outils qui m’ont été utile et il faut aussi dire que j’ai eu un accouchement rapide et sans provoc.
Le plus pénible pour moi a été les contractions, une fois que le bébé descend, l’envie de pousser passe au premier plan et les douleurs au 2ème plan. C’est vrai qu’au passage de la tête j’ai eu une sensation de brûlure ou étirement intense au niveau du périnée et la montée d’adrénaline de bientôt pouvoir voir et tenir mon bébé.
Je suis heureuse d’avoir pu vivre pleinement mon accouchement et sans instrumentation. Et d’avoir pu bouger comme je voulais pendant et après quel bonheur.
On a proposé à une de mes amies (en Suisse) lors de son accouchement une péridurale avec une pompe qu’elle pouvait gérer elle même. Selon ses sensations et douleurs elle pouvait à l’aide d’une manette s’administrer des bolus d’antalgique (le seuil maximum des médicaments étaient réglé par l’anesthésiste : pas de risque de surdosage).
Je crois qu’il est important d’être serein avec ses choix peu importe péri ou non , de pas avoir peur de partager ses inquiétudes avec son partenaire et le personnel soignant et après »
BONZAI » ( mon cri de guerre) ; )