Avant d’avoir mes enfants, j’avais toujours deux ou trois bonnes excuses quand j’arrivais en retard au boulot : métro en panne, RDV avec le réparateur de la chaudière, le relevé EDF. Aujourd’hui, ce n’est plus deux, ni trois mais au moins 8 excuses (et vraies avec ça) pour justifier mes retards !
Bibiche m’a vomi dessus quand je l’ai déposé à la crèche. Résultat ? Obligée de repasser par la maison changer mon chemisier.
Mon fils a oublié son sac de piscine. Soit je ne file pas lui amener et je suis THE mère indigne qui laisse son fils au bord du bassin regarder ses potes s’éclater, soit j’ai juste quinze minutes de retard (ce qui ne changera rien à ma journée quand on y réfléchit).
Choupinet a 38° de fièvre, ce n’est pas vingt minutes de retard que je vais avoir mais au moins 8H, je crois que je vais poser un « jour-enfant-malade ».
J’ai mis 12 minutes et 45 secondes à trouver la deuxième ballerine de princesse dans sa chambre, ça a bouleversé mon timing.
N° 2 a décidé que ce matin, il irait à la maternelle déguisé en Tigrou. S’en sont suivies, 5 minutes de négo, 2 minutes de hurlement, 6 minutes de câlins = 13 minutes de retard.
Un accident de cuisine m’a retardé. Bilan : un bol cassé, 2 kg de Chocopops au sol, et un litre de lait renversé. Conclusion ? Un ménage express serpillère incluse obligatoire.
J’ai eu le malheur de ne pas surveiller de près chaton (brushing oblige). Deux minutes avant de décoller, il était comme un pacha, étalé dans le canapé… Et toujours en pyjama (il ressemble vraiment à son père celui-là).
Bébé d’amour a testé le make-up pour faire comme Maman sauf que c’était un feutre indélébile, VDM.