Le compte à rebours à commencer, dans six mois, bébé rentre à l’école et côté propreté, il n’est toujours pas prêt ! Découvre les astuces de nos drôles de Mums (et de dad !)pour t’aider dans cette la croisade du pipi-popo contrôlé !
« J’ai profité de l’été pour lui retirer la couche et le laisser toute la journée cul nu ! Après quelques accidents, Loan a compris tout seul et a réclamé le pot ».
Virginie, 29 ans
« Impossible de la faire aller au pot. Je crois que j’ai tout essayé : les compliments, les encouragements, les cris, le chantage, rien ne fonctionnait. Et puis j’ai essayé le réducteur de toilette. Elle était toute heureuse de faire comme nous les grands ».
Corinne, 33 ans
« J’ai écouté les conseils de ma grand-mère. J’ai trouvé ça un peu cruel au départ, et puis j’ai tenté. Je lui ai retiré la couche, et une fois qu’il a compris que je ne céderai plus, et que la culotte sale, ce n’était pas forcément top, il a capitulé et va au pot depuis 1 mois ! ».
Cyrille, 32 ans
« La corvée pipi-caca, c’était mon rôle. Toutes les heures ou dès que je la voyais gigoter façon pipi arrive, je lui proposais d’aller au pot. Doucement, sans cri, en lui expliquant que c’était nouveau, que c’était normal qu’elle ne veuille pas y aller au départ, mais qu’elle devait m’écouter. J’ai passé deux mois à la regarder aller au pot juste pour s’amuser et puis finalement, elle y est allée de son plein gré ».
Pierre, 41 ans
« Grâce au jeu. Je me suis achetée un petit livre de contes et comptines et je lui promettais qu’à chaque fois qu’il essaierait d’aller au pot, je lui raconterai une petite histoire. Il s’est tellement pris au jeu, qu’il n’en décollait plus. Et tout est venu naturellement ».
Claire, 30 ans
« Moi qui ne suis pas patiente, j’ai fait de gros efforts. Je n’ai jamais cessé d’encourager ma fille. Je l’ai applaudie, bisouillée, félicitée sans jamais m’énerver. Elle était tellement galvanisée que tout s’est fait en quelques semaines ».
Flavie, 22 ans
« Tout s’est décanté quand j’ai compris que le pot au milieu du salon, ce n’était pas du tout une bonne idée (qui d’entre nous accepterait un tel supplice). Il était tout gêné et se mettait à pleurer dès que je lui proposais. Je lui ai donc demandé de choisir lui-même l’endroit où il voulait que je pose le pot. Il m’a indiqué les toilettes. Il avait son intimité, et je restais prêt de lui juste derrière la porte pour le rassurer ».
Bérénice, 26 ans