Quand une maman va vraiment trop loin avec ses filles…

Sophie-May Dixon, 22 ans est  une maman très particulière. A l’heure où les petites filles jouent à la poupée et vont au parc,  les deux filles de Sophie May, qui ont 4 et 2 ans passent leur vie dans des salons de beauté. Au programme : Pédicure, séance d’auto-bronzant, soins beauté….

Princess Bliss, 4 ans and Precious Bell, 2 ans, les deux filles de Sarah May ont donc été habituées à devenir des femmes avant l’heure. Première pédicure à 9 mois, extension de cheveux à deux ans, séance d’autobronzant à 3 ans.

          Une des petites filles en pleine séance d’autobronzant 

A quoi ressemble aujourd’hui le quotidien des deux fillettes ? Et bien , elles vont chez le coiffeur,  chez l’esthéticienne,  ou dans des salons de beauté.  Et à la maison, les deux filles sont traitées comme des princesses. Elles ont notamment une garde robe démesurée.  Elles possèdent chacune  plus de 40 robes dont certaines de grandes marques comme Dolce & Gabbana ou Ralph Lauren. Certaines ont même été créées spécialement pour elles par un couturier. Idem pour les chaussures. Leur mère s’arrange pour que ses filles soient toujours ‘parfaites ». Par exemple, leurs mains sont toujours  manucurées. «Je paye un supplément pour les faire personnalisés avec des cristaux Swarovski » explique Sophie May.

Sophie May  est une maman célibataire . Elle a été souvent très critiquée pour son comportement, mais ne comprend pas toutes ces critiques. Elle considère son comportement normal. Elle souhaite juste que ses filles se démarquent des autres et se fassent remarquer, a t-elle expliqué au Daily Mail. Sophie May passe donc des heures à préparer ses filles le matin . «Je suis comme Superwoman quand je les prépare le matin . Je veux que les gens se retournent dans la rue sur le passage de mes filles. Je me fiche du jugement des autres,  il n’y a rien de mal à vouloir que mes filles plaisent ! »

Elle explique que le fait de leur apprendre jeunes à faire attention à elles va leur permettre de se sentir en confiance. Elle se considère comme une très bonne mère : «Je vais à l’université pour permettre une vie meilleure à mes enfants, qui restent ma priorité. »

Malheureusement, on a peu peur  des conséquences que cela aura sur les deux petites filles qui risquent peut être de devenir des  pestes égocentriques centrées sur leur petite image. L’avenir le dira !